Observatoire des dysfonctionnements judiciaires

Observatoire
des
Dysfonctionnements Judiciaires

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    Reponses aux questions les plus courantes des associations

               
    justice associations défense réflexions judiciaire
    Il faut observer d'abord que toutes les Associations de bonne foi reconnaissent leur inefficacité quasi-totale devant les dysfonctionnements judiciaires.
    Ce n'est pas une critique mais le constat qu'il faut trouver une autre façon d'agir plus efficacement et en commun.  
    Notre Association a le même objectif que l'ODJ
    C'est justement après avoir constaté que toutes les Associations indépendantes ont en commun le même objectif général ( mettre la justice sous le contrôle du peuple ) que l'ODJ recherche la collaboration des Associations car aucune Association, sauf erreur à nous signaler
    - ne présente, même dans son propre domaine, une base de cas de dysfonctionnements, chacun facile à lire pour tous, mais précis et vérifiable, donc ne médiatise pas de façon efficace dans un objectif commun immédiat,
    - n'a donc la force de proposer de façon convaincante une revendication commune à moyen terme ( participation plus directe des citoyens aux décisions de justice ).
    Les dysfonctionnements de la justice ne sont, en aucun cas, spécifiques à un domaine particulier mais tiennent à des causes beaucoup plus générales.
    Ceci nécessite donc le regroupement de toutes les Associations ayant le même objectif général, quels que soient leurs domaines propres.
    Apport de l'ODJ aux nombreuses associations existantes luttant déjà pour la justice
    L'ODJ a pour seule ambition d'apporter à tous les justiciables, Associations et autres bénévoles intéressés, des moyens efficaces d'agir en commun, chacun apportant ponctuellement sa petite pierre pour le développement d'une base commune de cas, dans l'intérêt de tous  .

    Ne pas se saisir aujourd'hui de cette opportunité de rassembler toutes les cas de dysfonctionnements judiciaires, existants mais éparpillés dans de multiples sites peu connus et souvent documentés de façon inutilisable, conduirait à de nouveaux découragement par des échecs individuels et collectifs qui risquent d'être définitifs.
    L'ODJ est totalement ouvert à toutes observations, critiques ou suggestions précises et constructives sur ses objectifs, moyens et méthodes qui se veulent strictement complémentaires de ceux des Associations.
    Les collaborations entre Associations sont impossibles           
    C'est démontré, hélas, par de nombreuses tentatives dans ce sens.
    C'est pourquoi l'ODJ propose une collaboration volontairement très limitée mais d'intérêt commun et immédiat, dont le début est un test mutuel de cet intérêt par l'alimentation de la base commune avec une dizaine d'exposés de cas en moins d'une page mais clairs et crédibles (qui seraient suivis ultérieurement par les résumés vérifiables correspondants).
    Ce test mérite d'être fait, vu les 2 premières lignes de la présente page.
    Il ne devrait demander pratiquement aucun travail supplémentaire à des Associations qui prétendent disposer de dizaines voire de centaines de cas évidents.
    Pourquoi n'y a-t-il pas un plus grand nombre d'Associations participantes à l'ODJ ?
    puisque l'ODJ leur propose de bénéficier, gratuitement et sans contrainte, d'un environnement et d'outils sans équivalent qui valorisent et favorisent leurs actions propres ?
    L'ODJ recherche la collaboration d'Associations, de préférence
    - significatives (non limitées à un seul membre ).
    Une seule personne peut faire beaucoup et, par exemple, le développement de l'ODJ le prouve.
    Mais quelques bénévoles dispersés ne peuvent évidemment pas documenter sérieusement au moins 10 000 cas de dysfonctionnements par an.
    Il faut donc mobiliser beaucoup plus largement les membres des Associations,
    - utiles à leurs adhérents 
    . bénévoles et neutres vis à vis des cas qui leur sont soumis : pas de vente de services derrière une vitrine associative,
    . ne se limitant pas à faire beaucoup bruit pour se donner le sentiment d'exister ou faire la publicité personnelle de leurs dirigeants,
    - respectueuses de la qualité nécessaire des informations diffusées : ne confondant pas la liberté d'expression avec la possibilité de dire n'importe quoi, n'importe comment et sans contrôle,
    - indépendantes des pouvoirs publics : non subventionnées par le gouvernement ou par une Administration,
    -

    ouvertes à l'intérêt général : ne se limitant pas à gérer jalousement un cas particulier ou leur secteur et comprenant la complémentarité de l'ODJ

    . à des actions d'aides isolées et sans lendemain,
    . ou à des réflexions sur la loi qui doivent être appuyées par un grand nombre de cas concrets et une pression médiatique efficace.
    La vérification opérationnelle suffisante de l'intérêt potentiel des outils et méthodes de l'ODJ  Observatoire des Dysfonctionnements Judiciaires audience ODJ était un préalable nécessaire à des propositions de leur mise en commun.
    Il appartient aujourd'hui à chaque Association sérieuse de s'en saisir pour donner l'exemple aux autres dans l'intérêt de chacune et de toutes.
    " Notre Association n'a pas le temps  de résumer et contrôler les cas suivant les méthodes proposées par l'ODJ "
    Réflexion utile sur le temps : 

    Chaque Association sérieuse doit connaître au moins quelques cas méritant d'être publiés.
    Les résumés précis et vérifiables de cas demandent beaucoup de temps et de soin mais doivent être préparés d'abord par les justiciables membres des Association, dans leur intérêt direct et immédiat, les permanents des Associations se réservant le contrôle final de ces résumés. Observatoire des Dysfonctionnements Judiciaires audience ODJ
    Commencer en présentant quelques exposés pour prouver une volonté réelle de collaborer dans l'intérêt commun .
    L'ODJ n'intervient en rien dans les autres activités des Associations participantes et, au contraire, se met sous leur contrôle. 
    Institut pour la Justice. Réponse reçue de son délégué général
    " Je regrette ... mais mon agenda est extrêmement chargé actuellement et suis dans l'impossibilité de mettre en place une collaboration entre nos 2 Associations ".
    Nos commentaires
    Depuis 3 ans nous essayons d'établir une collaboration compte tenu de complémentarités qui nous paraissaient évidentes. En effet, l'Institut pour la justice
    - ne s'intéresse qu'aux affaires pénales et son objectif est d'agir seulement en obtenant des durcissements de la loi dans ce domaine,
    Ses résultats, grâce à ses moyens importants résultant d'appels insistants à des dons, sont surtout publicitaires.
    Mais il faut souligner à nouveau que le problème essentiel n'est pas de modifier la loi, qui n'est pas si mauvaise, mais le contrôle permanent de son application.
    - ses exemples concrets de dysfonctionnements judiciaires sont intéressants en principe mais ils sont tous présentés de façon beaucoup trop brève, unilatérale, sans preuves et sont impossibles à rechercher et regrouper suivants critères au choix de chacun.
    Ils paraissent destinés non à aider les justiciables dans leur défense et faciliter leur entraide mais à justifier ses demandes de dons.
    Noter que
    - il n'est pas possible de trouver sur le site de cette Association ses statuts, les comptes-rendus de ses Assemblées Générales ni ses rapports financiers.
    Les demandes à ces sujets d'un sympathisant a priori n'ont jamais reçu de réponse, depuis plus de 2 ans,
    - l'un des fondateurs de cet Institut, Philippe SCHMITT père d'Anne-Lorraine assassinée dans le RER D en 2008, reconnaît que pratiquement rien n'a bougé depuis 3 ans et a quitté cet Institut en estimant qu'il faisait fausse route et que d'ailleurs il n'a pas été reconnu par le comité d'éthique des ONG.
    RIC
    (Rassemblement pour l'Initiative Citoyenne). 
    " Faire juger les juges ayant commis des fautes lourdes par des citoyens ".
    Voir commentaires  citoyens justice erreurs fautes magistrats
     

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